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"À moins que quelqu'un comme vous ne s'en préoccupe énormément, rien ne va s'améliorer. Ce n'est pas le cas." - Le Lorax du Dr. Seuss

Dans notre monde du spectacle, nous sommes souvent pris dans un drame qui nous est propre : un délicat exercice d'équilibre pour créer un art qui soit à la fois durable et accessible. La scène est parsemée de défis, notamment l'impression que donner la priorité à l'un signifie sacrifier l'autre, souvent pour des raisons budgétaires. Et si ce n'était pas un jeu à somme nulle ? Et si, au lieu de considérer la durabilité et l'accessibilité comme des rivalités en coulisses, nous les considérions comme des covedettes dans la grande production d'un art qui a de l'impact ?

Voici trois questions qui nous aideront à explorer leur potentiel de connexion et de puissance :

 

#1 : "Est-il possible que ce qui est bon pour la planète soit aussi bon pour les gens ?"

Qu'est-ce qui change si nous considérons la durabilité comme un moyen d'enrichir l'expérience du public et d'élargir l'inclusion ? Qu'est-ce qui, dans votre approche des pratiques respectueuses de l'environnement, peut également faire tomber les barrières de la participation et de l'engagement du public ?

#2 : "Peut-on redéfinir le terme 'coût' pour y inclure le prix de l'exclusion ?"

Les discussions budgétaires se résument souvent à des chiffres, mais que se passerait-il si nous élargissions notre définition des coûts pour prendre en compte l'impact de l'exclusion? Nous mesurons le retour sur investissement, mais si nous mesurions le fossé laissé par l'absence de pratiques durables et inclusives ?

#3 : "Exploiter les limites pour une libération créative".

Les frontières et les limites sont souvent considérées comme les adversaires de la créativité. Mais avez-vous déjà joué avec eux comme points de départ d'un projet ? Plutôt que de raconter des histoires et de diriger la conception, que diriez-vous de commencer par jouer avec ces paradigmes ? Et s'ils étaient le secret pour repousser les limites de la narration, de la conception et de l'engagement, de la transformation ?

 

Je sais, aucune de ces idées ne sera une nouvelle façon de penser pour vous, j'en suis sûr !

Mais c'est peut-être l'occasion de nous responsabiliser individuellement. En tant qu'organisation, nous pouvons constamment nous mettre au défi de considérer la durabilité et l'accès non pas comme des obstacles mais comme des opportunités. C'est le duo qui peut élever notre art pour qu'il soit plus en résonance avec un public mondial qui aspire au changement.

Pour moi, la durabilité n'est pas une question de point final unique. Il s'agit d'une pratique, d'un voyage global réactif et en constante évolution vers des performances qui ne reflètent pas seulement le monde tel qu'il est aujourd'hui, mais qui imaginent le monde tel qu'il pourrait être.

"Nous n'héritons pas de la Terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos enfants". - divers

Jon Dafydd-Kidd

ASSITEJ Membre international du CE

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