Presque deux mois se sont écoulés depuis la clôture du festival "The cradle of creativity", en Afrique du Sud. Ce fut un puissant évènement, socialement engagé, créativement explosif, largement ouvert, porteur de transformations pour les Sud-Africains, émouvant, et hautement significatif. Ce fut un moment fort pour, nous qui étions à Cape Town durant ces douze jours. Mais, nous l'espérons, il continuera d'être important au-delà de cette courte période, et, aussi, pour ceux d'entre vous qui n'étaient pas présents. Ou, plutôt, comme je le crois, "The cradle of creativity" est déjà en train de prendre du sens : pour chacun d'entre nous, individuellement, et comme un évènement collectif, global et professionnel.
L'ASSITEJ Afrique du Sud avait choisi de nommer le congrès "Le berceau de la créativité", en référence au "Berceau de l'humanité". Une métaphore destinée à mettre l'Afrique au centre de notre carte mentale du monde. Et l'Afrique se situe réellement au Ce que nous avons vécu au Cap, la diversité, la générosité et la façon dont l'ASSITEJ, en tant qu'organisation et communauté globale, est capable de changer les choses au niveau national comme au niveau international, rejailliera sur les arts de la scène au niveau mondial, dans les prochaines années. La tâche du Comité exécutif, et la mienne, en tant que Secrétaire général, est de faire en sorte que cela se produire. Cela implique de faire vivre cette dynamique à Pékin, l'année prochaine, à Kristiansand, en 2019, et à Tokyo en 2020, et de nous assurer qu'à chacune de ces occasions, elle se mélange, et se transforme en quelque chose de nouveau, d'unique, et de fertile.
Ceux qui n’ont pas assisté à « The cradle of creativity » et à l’Assemblée générale trouveront ci-dessous une présentation des plus importantes décisions et informations, ainsi que les portraits des nouveaux membres du Comité exécutif. Mais, tout d’abord, je voudrais addresser d’énormes remerciements aux membres sortants du précédent Comité exécutif : Vigdís Jakobsdottír, Diana Krzanic-Tepavac, Imran Kahn, Nina Hajiyanni, Adi Beeri, and Razi Amitai. Ils se sont consacrés corps et âme, infatigablement, à leur travail pour l’ASSITEJ, à notre bénéfice à tous.
Cette lettre d’information est la première depuis 2014 à ne pas être écrite par Marisa Gimenez Cacho. Marisa a décidé de ne pas présenter à nouveau sa candidature en tant que Secrétaire générale. Nous s!ommes nombreux à regretter profondément cette décision. Je promets de faire de mon mieux pour poursuivre son travail. Merci, Marisa !
