Au cours des dernières années, j'ai toujours associé les mots "durable" et "soutenabilité" aux efforts en faveur de l'environnement. Le dictionnaire Merriam Webster définit le terme "durable" comme étant "une méthode de récolte ou d'utilisation d'une ressource qui ne l'épuise pas ou ne l'endommage pas de façon irrémédiable".
Le 1er janvier 2024 au matin, je me suis assis dans mon fauteuil préféré avec mon café, et j’ai commencé à rédiger mes résolutions pour la Nouvelle Année, vous savez celles qu’on se fait chaque fois en tout début d’année : promesses personnelles, changements, tout type de réalisations et améliorations. En peu de temps, j’ai eu rempli mon bloc-notes d’idées.
Tout en essayant de maintenir un équilibre entre vie professionnelle et vie privée, et de diriger avec succès mon institution dans ce climat post-pandémique, mes espoirs pour 2024 étaient immenses. Au moment d’aller me resservir du café, j’ai remarqué un post Facebook de ma chère amie, Nina Meehan, consultante en création. Elle aussi avait des résolutions pour le Nouvel An. Et voici ce qu’elle postait :
“Le 31 décembre, vous vous faites toutes sortes de promesses et imaginez toutes sortes de projets. Et pendant les premiers jours de janvier, vous êtes en fait résolu, déterminé et inébranlable, sûr que vous allez réaliser ces projets et ces promesses. Mais vers le 10 janvier, la vie réelle a repris son cours et, avec elle, les rebondissements et les imprévus arrivent. Vos résolutions peuvent-elles résister à ces vagues ? Peuvent-elles se maintenir face aux inévitables surprises de la vie quotidienne ?”
Ma tasse de café remplie à la main, j’ai repris ma liste et je l’ai relue. Constamment confronté à l’imprévu au jour le jour, pouvais-je honnêtement atteindre tous ces objectifs cette année ? Le billet de Nina a continué à répondre aux questions qu’elle, et moi, nous nous posions :
“Pour la plupart d’entre nous, la réponse est NON. Les recherches suggèrent que seulement 9 % des gens tiennent leurs résolutions du Nouvel An. Ce qui explique pourquoi les salles de sport du pays sont pleines le 3 janvier et vides le 22 janvier. Cette année, pourquoi ne pas s’engager dans quelque chose de durable ?”
L’article inspirant de Nina m’a fait réfléchir aux mots “durable”. Au cours des dernières années, j’ai toujours associé les mots “durable” et “soutenabilité” aux efforts en faveur de l’environnement. Le dictionnaire Merriam Webster définit le terme “durable” comme étant “une méthode de récolte ou d’utilisation d’une ressource qui ne l’épuise pas ou ne l’endommage pas de façon irrémédiable”.
Après avoir lu cette définition, j’ai regardé la longue liste sur mon bloc-notes et j’ai tourné la page pour en écrire une nouvelle. Sur cette nouvelle page, dans un esprit de durabilité personnelle, j’ai écrit une résolution :
“Cette année, je ne m’épuiserai pas et je ne ferai subir aucun dommage irrémédiable à MA PROPRE PERSONNE. »
Face à un futur plein d’inconnus et de défis, j’espère que le fait de prendre soin de moi sera une source d’innovation et de nouvelles opportunités. De même que la préservation de l’environnement et les défis sociaux sont des sujets globaux, j’espère que le fait de prendre soin de moi me permettra de mener et de renforcer les occasions de collaborer et coopérer à l’échelon international.
Mon vœu est que comme moi, vous preniez soin de vous au cours de l’année à venir, afin que tous ensemble nous puissions garantir une meilleure qualité de vie aux générations actuelles et futures.
Ernie Nolan
Treasurer of ASSITEJ International